34 m. ago Dossier des 5 anciens ministres : Ce qui va se passer à l’Assemblée dans 14 jours

À l’issue de la réunion du Bureau et de la Conférence des présidents, hier, l’Assemblée nationale a retenu la date du 8 mai prochain pour la plénière relative à la mise en accusation de cinq (5) anciens ministres de Macky Sall, comme le demandent les autorités judiciaires dans le cadre de l’enquête sur la gestion du Fonds Force Covid-19, estimé à 1 000 milliards FCFA. Auparavant, l’Assemblée nationale devra, à la demande du Parquet de Dakar, procéder à la levée de l’immunité parlementaire de Moustapha Diop et Ndèye Saly Diop, devenus députés de la 15e législature. L’Assemblée nationale a dévoilé l’identité des cinq (5) ministres visés par la requête du Parquet de Dakar. Ce dernier avait saisi l’institution parlementaire en vue de l’ouverture d’une procédure de mise en accusation devant la Haute Cour de justice, dans le cadre de l’enquête sur la gestion des fonds destinés à la lutte contre la Covid-19. Hier, lors de la réunion du Bureau de l’Assemblée nationale, le président Malick N...

Politics

64 m. ago Dossier Macky Sall : Silence radio à l’Assemblée pour la proposition de Guy Marius Sagna

L’Assemblée nationale a-t-elle décidé d’enterrer la résolution déposée par Guy Marius Sagna visant à traduire l’ancien président Macky Sall devant la Haute Cour de justice ? En tout cas, tout porte à croire que ce texte, bien que médiatiquement retentissant, semble avoir été relégué aux oubliettes du Parlement. En effet, selon les constats faits lors de la dernière réunion du bureau de l’Assemblée nationale ainsi que de la conférence des présidents, aucune mention n’a été faite de la résolution en question. Une absence remarquée, voire troublante, dans un contexte où la transparence et le devoir d’information envers la représentation nationale devraient primer. Ce silence interroge d’autant plus que, d’ordinaire, le président de l’Assemblée informe le bureau de toutes les résolutions reçues. Or, cette fois-ci, El Malick Ndiaye, président de l’institution parlementaire, n’en a même pas fait allusion. Cette mise à l’écart suscite des interrogations légitimes. La résolution de Guy Mari...

Other

97 m. ago Amnistie : Les familles accompagnées dans leurs plaintes par Amnesty

Amnesty International Sénégal a annoncé, jeudi, sa décision d’assister toutes les familles n’ayant pas pu déposer de plainte dans le cadre des émeutes de 2021 et de 2024, notamment celles des personnes tuées lors des manifestations consécutives à la décision de l’ancien président Macky Sall de reporter l’élection présidentielle initialement prévue le 25 février 2024. Ce report, perçu par l’opposition et une partie de la société civile comme une tentative de maintien au pouvoir, avait suscité une vague de protestations à travers le pays, provoquant des violences meurtrières. Lors d’une déclaration publique, le directeur exécutif de l’organisation, Seydi Gassama, a précisé qu’Amnesty allait accompagner juridiquement ces familles pour déposer des plaintes avec constitution de partie civile auprès des juges d’instruction, contournant ainsi les blocages posés par la récente loi d’amnistie votée par l’Assemblée nationale. Cette initiative intervient au moment où le Conseil Constitutionnel...

Other

3 h. ago Pape Malick Ndour fustige Pastef : « Une poésie constitutionnelle au service de l’enfumage »

L’ancien ministre de la Jeunesse sous Macky Sall, Pape Malick Ndour, est monté au créneau pour critiquer vertement le parti Pastef et son leader Ousmane Sonko, après la décision du Conseil constitutionnel rejetant l’article 1 de la loi interprétative portée par le régime en place. Dans une publication tranchante sur Facebook, celui qui demeure un fidèle lieutenant de l’ancien président Macky Sall n’a pas mâché ses mots, qualifiant la posture de Pastef de « poésie constitutionnelle ». Selon Pape Malick Ndour, les responsables de Pastef cherchent à maquiller un revers en victoire politique. « Quand le Conseil juge votre démarche nulle et non avenue, vous brandissez ça comme une victoire ? » interroge-t-il avec ironie. Pour lui, la manœuvre politique ne peut dissimuler le fait que la haute juridiction a tout simplement rejeté une proposition mal ficelée. Il estime que le parti au pouvoir fuit l’essentiel à coups de « gesticulations » et de « déclarations théâtrales », dans le but de dé...

Other

3 h. ago Amnistie : Macky Sall et cie réagissent à la décision du Conseil Constitutionnel

L’Alliance Pour la République (APR), parti de l’ancien président Macky Sall, n’a pas tardé à réagir au rejet par le Conseil constitutionnel de la loi interprétative votée récemment par la majorité parlementaire issue du parti Pastef. Dans un communiqué officiel, la formation politique s’est félicitée de cette décision, la considérant comme une victoire de l’État de droit et une « gifle institutionnelle » infligée à l’actuel président de la République, Bassirou Diomaye Faye, ainsi qu’à son Premier ministre Ousmane Sonko. L’APR salue particulièrement les députés qui ont initié le recours, soulignant qu’ils ont fait preuve d’« attachement à la légalité républicaine » dans un contexte de tensions politiques croissantes. Pour le parti, cette décision du Conseil constitutionnel rappelle à l’ordre une majorité jugée « manipulatrice » et « amateuriste », accusée de vouloir instrumentaliser les institutions à des fins partisanes. Le communiqué met également en garde le pouvoir contre toute t...

Politics

6 h. ago INFO SeneNews – Révélations : Les dessous d’une traque d’État qui pourrait faire tomber Macky Sall pour haute trahison

Les murs ont des oreilles, les dossiers ont une mémoire. Depuis quelques semaines, un ballet discret mais soutenu agite les couloirs feutrés des institutions sénégalaises. Des noms circulent, des documents changent de main, des regards se croisent sans se saluer. Au cœur de cette effervescence silencieuse, une rumeur persistante enfle : un ancien chef d’État pourrait être convoqué par l’Histoire elle-même. SeneNews a mené l’enquête, et ce que nous avons découvert dépasse toutes les spéculations. Car derrière les procédures actuelles, c’est un engrenage implacable qui semble se refermer, lentement mais sûrement, sur Macky Sall. Voici pourquoi. Jusqu'ici, tout semblait sous contrôle. Le régime de Bassirou Diomaye Faye, dans sa posture de rupture, avançait pas à pas, concentré sur la refondation des institutions et la moralisation de la vie publique. Mais en coulisses, les signaux ne trompaient plus. À la Présidence, dans certains cercles judiciaires, et jusque dans les milieux diploma...

Other

6 h. ago Haute cour de justice : ce qui est reproché à Ismaïla Madior Fall, rien à voir avec le fonds Force Covid

Son nom est apparu par surprise aux côtés de ceux de quatre ministres annoncés devant la commission d’instruction de la Haute cour de justice pour des soupçons d’irrégularités dans l’utilisation du fonds Force Covid-19. Mais d’après Libération, Ismaïla Madior Fall est visé pour autre chose. «Il est accusé de faits présumés de corruption alors qu’il était Garde des Sceaux, ministre de la Justice», rapporte le journal.       «À ce stade, embraye la même source, tout ce que l’on sait est que le dossier se fonde, entre autres, sur une confession très détaillée d’un entrepreneur, appuyée par le directeur des constructions des Palais de justice.»       Sous Macky Sall, Ismaïla Madior Fall a été notamment ministre de la Justice donc, chef de la Diplomatie, conseiller et directeur de cabinet du chef de l’État.

Economics

6 h. ago Le Conseil constitutionnel déclare la Loi d’interprétation de la Loi d’amnistie contraire à la Constitution

Dans une décision très attendue, le Conseil constitutionnel du Sénégal a déclaré, ce mercredi, que la Loi d’interprétation de la Loi d’amnistie, votée par l’Assemblée nationale le 2 avril 2025, est contraire à la Constitution. Cette décision marque un tournant dans la controverse juridique et politique entourant ce texte, porté par le groupe parlementaire Pastef, majoritaire à l’Assemblée, et proposé par le député Amadou Ba. La Loi d’interprétation, visant à clarifier certaines dispositions de la Loi d’amnistie adoptée en mars 2024 sous la présidence de Macky Sall, avait suscité une vive opposition. Ce dernier texte, voté dans un contexte de tensions politiques pré-électorales, couvrait les infractions liées aux manifestations politiques entre février 2021 et février 2024, permettant la libération de nombreux détenus, dont des figures de l’opposition comme le président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko. Cependant, la nouvelle loi interprétative, adoptée par ...

Politics

7 h. ago En français facile le Conseil Constitutionnel dit ceci !! (Par Marvel Ndoye)

1° Aux 100 martyrs, le Conseil Constitutionnel (CC) leur dit ceci à titre posthume : « Votre mort ne passera pas par pertes et profits comme le souhaitaient Macky Sall, ses bras armés, l’APR / BBY, ceux qui ont voté ou soutenu la loi d’amnistie en Mars 2024 » 2° Aux familles des martyrs, le CC leur dit ceci : « La loi d’amnistie de Macky Sall et l’APR / BBY ne peut couvrir comme ils l’espéraient l’assassinat de vos enfants. Vous pouvez donc déposer vos plaintes au Sénégal contre les meurtriers et commanditaires, vous obtiendrez justice » 3° Aux survivants, victimes de barbaries, d’actes de tortures et de traitements dégradants, le CC dit ceci : « La loi d’amnistie de Macky Sall et l’APR / BBY ne peut effacer les atrocités que vous avez subies. Soyez libres de déposer vos plaintes au Sénégal, vous obtiendrez justice » 4° A Macky Sall, à Amadou Sall le recruteur, à l’APR / BBY, et compagnie, le CC dit ceci : « Désolé de vous décevoir, mais vous ne pourrez pas vous prévaloir de la loi ...

Politics

8 h. ago Fatou Kiné Cissé en prison après ses déclarations sur la sécurité du président Diomaye

Déjà mise en cause dans une précédente affaire, Fatou Kiné Cissé, présidente-directrice générale de la société « Tahar Projets », a été placée sous mandat de dépôt par le doyen des juges. Sous le coup d’un contrôle judiciaire dans une procédure antérieure pour diffusion de fausses nouvelles, elle a été de nouveau entendue et placée en détention dans le cadre d’une nouvelle affaire liée à des déclarations jugées graves. Dans une vidéo diffusée sur YouTube, Fatou Kiné Cissé avait affirmé que la sécurité du président de la République et celle du Premier ministre étaient menacées, en raison de la promotion récente d’un officier réputé proche de l’ancien chef de l’État, Macky Sall. Ces accusations, qui ont rapidement suscité l’émoi sur les réseaux sociaux, n’ont été étayées par aucun élément matériel ou preuve concrète, selon les enquêteurs. Seuls des articles d’un site web non identifié ont été évoqués à l’appui de ses allégations. Face à la gravité des propos tenus et à l’absence d’élé...

Politics

8 h. ago Sondage SeneNews : 53 % des lecteurs opposés à la libération sous caution dans l’affaire des Fonds Covid

Un récent sondage réalisé par la rédaction de SeneNews auprès de ses lecteurs révèle une opinion publique sénégalaise partagée concernant la libération sous caution des personnes impliquées dans l'affaire des Fonds Covid-19. Sur 2 305 votants, 53 % se sont déclarés contre cette mesure, tandis que 47 % y sont favorables. L'affaire des Fonds Covid-19 a éclaté suite à la publication d'un rapport de la Cour des comptes en décembre 2022, mettant en lumière des irrégularités majeures dans la gestion de ce fonds d'urgence. Le rapport a révélé des cas de surfacturation, de retraits en espèces injustifiés et d'avantages pécuniaires indus, impliquant notamment des anciens ministres du gouvernement de Macky Sall . Le montant des fonds détournés est estimé à environ 1 000 milliards de francs CFA. Dans le cadre des poursuites judiciaires, plusieurs personnes mises en cause ont été arrêtées, puis libérées sous caution. Cette pratique, bien que légale, suscite un débat intense au sein de la sociét...

Economics

9 h. ago Haute Cour de Justice : Ismaïla Madior Fall choqué de sa mise en accusation

Son cas suscite un questionnement. Beaucoup se demandent ce que le nom de l'ancien Garde des Sceaux, ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall, vient faire sur la liste des cinq (5) anciens ministres dont les dossiers sont envoyés à l'Assemblée nationale pour demander la mise en accusation devant la Haute Cour de justice. Selon des sources de L’Observateur, même des membres du Bureau de l'Assemblée nationale ont été surpris d'entendre le nom du professeur de droit constitutionnel, par ailleurs ancien ministre d'État auprès du président de la République, Macky Sall. Car, depuis l'éclatement du scandale lié à la gestion des fonds de la Covid-19, révélé par le rapport de la Cour des comptes, on n'a jamais entendu citer le nom du professeur Ismaïla Madior Fall dans ce dossier. Il convient également de rappeler que les faits relatés par le rapport de la Cour des comptes couvrent la période 2020-2021 de la gestion de la pandémie, une période durant laquelle le professeur Ismaïla Madior ...

Other

20 h. ago Le Conseil constitutionnel tranche : Juan Branco évoque la possibilité de poursuites internationales contre Macky Sall

Quelques heures après que le Conseil constitutionnel du Sénégal a invalidé l’article premier de la loi interprétative sur l’amnistie de 2024, l’avocat franco-espagnol Juan Branco a réagi sur les réseaux sociaux. Pour lui, cette décision pourrait ouvrir la voie à des poursuites judiciaires sur le plan international. « La saisine de la Cour pénale internationale par les autorités du Sénégal à l’encontre de M. Macky Sall est facilitée par le rejet de la loi interprétative. Il appartient désormais au Président de la République et au Premier ministre d’y procéder s’ils le souhaitent », a-t-il déclaré sur X (anciennement Twitter). La loi en question, adoptée le 2 avril 2025 par l’Assemblée nationale, visait à exclure certaines infractions — notamment les crimes considérés comme imprescriptibles — du champ d’application de l’amnistie générale. Toutefois, le Conseil constitutionnel a jugé qu’elle contrevenait au principe de non-rétroactivité des lois pénales plus sévères, ainsi qu’aux engag...

Politics

22 h. ago Levée d’immunité et mise en accusation : L’étau se resserre autour des ministres de Macky SALL

La Conférence des Présidents a orchestré un calendrier précis pour examiner des demandes émanant du ministère de la Justice. Au centre des discussions figure la requête de levée de l’immunité parlementaire visant les députés Salimata DIOP et Moustapha DIOP. Cette démarche, présentée comme un préalable à leur mise en accusation, s’inscrit dans le cadre de […] The post Levée d’immunité et mise en accusation : L’étau se resserre autour des ministres de Macky SALL appeared first on Walf NET.

Politics

23 h. ago Le  Conseil Constitutionnel  met en garde contre toute tentative d’utiliser la loi d’amnistie pour entraver la justice concernant des crimes graves

Le Conseil constitutionnel du Sénégal a  rendu sa décision rejetant   la loi interprétative n° 08/2025 du 02 avril 2025 relative à l’amnistie, proposé par le député de la majorité Amadou BA. Cependant, plusieurs considérants de cette décision soulèvent des questions  quant à la conformité de la  loi d’amnistie promulguée par l’ancien président Macky SALL avec […] The post Le  Conseil Constitutionnel  met en garde contre toute tentative d’utiliser la loi d’amnistie pour entraver la justice concernant des crimes graves appeared first on Walf NET.

Politics

24 h. ago Scandale “Fonds Covid” : Rayan Hachem, l’entrepreneur de la restauration cité dans une affaire de détournement de fonds publics

L’arrestation récente de plusieurs importateurs de riz ayant collaboré avec le régime de l’ancien président Macky Sall a mis en lumière un nom inattendu : celui de Rayan Hachem, connu à Dakar comme le patron de Planet Kébab, selon les informations de Kewoulo. Figure discrète du monde des affaires, Hachem se retrouve aujourd’hui au cœur d’une enquête liée à la gestion du fonds “Force Covid-2019”, mis en place pour venir en aide aux populations vulnérables durant la pandémie. Il est accusé d’avoir joué un rôle central dans l’acquisition de riz destiné aux couches les plus démunies, un marché attribué sous l’ancien régime. D’après Kewoulo, les montants en jeu dépasseraient les 3 milliards de francs CFA. En vertu de l’article 140 du Code de procédure pénale, Rayan Hachem pourrait recouvrer sa liberté en remboursant ou en consignant les sommes réclamées. Pour assurer sa défense, il a fait appel à Me Abdoul Birame Wane, avocat au barreau de Dakar. Toujours selon Kewoulo, Hachem aurait men...

Economics

26 h. ago Reddition des comptes : l’ancien ministre Abdoulaye Saydou SOW prône la prudence

Invité de l’émission Salam Sénégal, Abdoulaye Saydou SOW, ancien ministre sous Macky SALL, a exprimé ses inquiétudes face aux récentes poursuites d’ex-ministres. S’il soutient la nécessité de rendre des comptes, il remet en question la manière dont certaines procédures sont engagées. Le maire de Kaffrine estime notamment que des cas comme ceux de Lat DIOP […] The post Reddition des comptes : l’ancien ministre Abdoulaye Saydou SOW prône la prudence appeared first on Walf NET.

Politics

28 h. ago Reddition des comptes : Les mises en garde de l’ancien ministre Abdoulaye Seydou Sow

Invité de l’émission Salam Sénégal, l’ancien ministre Abdoulaye Seydou Sow, ex-haut responsable sous le régime de Macky Sall, s’est exprimé sur l’actualité marquée par les poursuites judiciaires visant plusieurs anciens membres du gouvernement. Alors que le débat sur la reddition des comptes anime l’espace public, l’ancien ministre appelle à la prudence et à l’équilibre. S’il affirme soutenir le principe de redevabilité, Abdoulaye Seydou Sow soulève des inquiétudes sur la manière dont certaines affaires sont traitées. « Ce qui m’étonne, c’est que beaucoup de ces arrestations ne relèvent pas de la reddition des comptes. Le cas de Lat Diop, par exemple, ne concerne pas sa gestion à la LONASE. Pareil pour Farba Ngom. Il faut faire très attention à respecter les droits de chacun », a-t-il déclaré. L’ancien ministre alerte sur une possible instrumentalisation politique des procédures judiciaires. « Il ne faut pas en faire une affaire politicienne pour éliminer des adversaires. Sinon, not...

Politics

28 h. ago Affaire de la surfacturation du riz : Mansour Faye brandit ses justificatifs

Accusé de mauvaise gestion dans le cadre du fonds Force Covid-19, l’ancien ministre Mansour Faye se défend face aux soupçons de surfacturation concernant une commande de riz. Alors que la justice poursuit son enquête, il rejette catégoriquement les accusations et remet en cause le travail d’un vérificateur de la Cour des comptes. Le climat est tendu autour de l’ancien ministre du Développement communautaire, visé dans la gestion controversée du fonds Force Covid-19. Au cœur de la polémique, une commande de 30 000 tonnes de riz, dont la surfacturation présumée avoisinerait 2,75 milliards de francs CFA. Autre anomalie relevée par les enquêteurs : un retrait jugé irrégulier de 399 millions de francs CFA du fonds de calamité. L’affaire prend désormais une tournure judiciaire avec l’interpellation de son ex-directeur administratif et financier (DAGE), Aliou Sow, soupçonné d’avoir orchestré cette opération frauduleuse. Mais Mansour Faye, également maire de Saint-Louis, refuse de rester si...

Other

31 h. ago Assemblée nationale : la procédure de mise en accusation de cinq anciens ministres enclenchée

Le président de l’Assemblée nationale, Malick Ndiaye, a convoqué deux réunions importantes ce jour : d'abord celle du Bureau de l’Assemblée, suivie par celle de la Conférence des présidents.      Selon L'Observateur, qui relaie l'information dans son édition de ce mercredi 23 avril, ces rencontres visent à examiner la demande formulée par les autorités judiciaires  suite à la requête du Parquet général dans le cadre de l'enquête sur la gestion du Fonds force Covid-19 et à mettre en place le calendrier des travaux parlementaires à venir.   Cette procédure judiciaire exceptionnelle touche un premier lot de cinq anciens ministres, dont Mansour Faye, ancien ministre du Développement communautaire et de l’Équité sociale, et Moustapha Diop, ancien ministre du Développement industriel et des PME, liste le journal. Celui-ci persiste et signe : ces deux figures politiques proches de l’ex-président Macky Sall devraient être les premiers à comparaître devant la Haute C...

Politics